La fin de l'Hydre. [M o n o l o g u e] [Terminé~]

I want to kill. And I will.

Il fait nuit. Les poneys solariste, harmoniste et civile dorment, et les lunaristes se réveillent. Et moi, je vais passer à l'action.
Mais j'ai décidé d'épargner tout les poneys d'Equestria. Je ne suis pas d'humeur à tuer des toutes petites choses. Mais des grosses ! Et je sais où en trouver... Enfin où LA trouver... Au marais Froggy Bottom.

Alors je m'y rend d'un pas dangereux en chantonnant ma chanson avec une voix alarmant.

I will kill l' Hydre of the marsh Froggy Bottom.
I would eat it with my meal.
I would have an insane pleasure with l' to destroy...

Et cela sans m'arrêter. Pas tant que je ne serais pas au marais.
Mes yeux montrent mon envie de tuer, mes lèvres prouvent que je suis une méchante, très méchante fille. A mon avis, il vaut mieux ne pas me croiser ! Haha...

Enfin, j'arrive dans les marais. Je stoppa brusquement ma mélodie patibulaire.
Qu'ai-je amené ? Tout simplement mon fidèle couteau, un large sac en tissu et rien d'autre ! Moi, mon couteau et mes ailes, nous allons tuer ce monstre écœurant !
Oui, mes ailes vont beaucoup me servir, même si elles ne contiennent pas de magie noir.
Malheureusement... Même si ce n'est pas du tout la chose que je veux faire, je vais rendre un service à la population. Alors, je détruirais les arbres, et massacreras toutes les bêtes de ce marais. Cela va prendre toute la nuit en effet. Je savourais se moment en même temps que d'aller vite. Bon. Que je cesse de discuter, que je passe à l'action !

J'attend impatiemment l'Hydre en le traitant de tout les noms, et en tuant les bestioles du marais pour m'échauffer, et les engloutir pour prendre des forces.

« Eh sale bestiole à la noix, tu vas te montrer oui ?!! Ah mais oui c'est vrai. Tu n'es qu'une sale fillette ! Tu n'ose même pas te montrer ! Surtout face à une toute petite ponette ! »

C'est un exemple de phrase que je lui dit. J'ai du perdre mon temps pendants trente minute avant qu'il se montre fou de rage. Bon, voyons des choses du bon côté : Les bêtes du marais sont anéanti.

Je me mit en position d'attaque, et je le regarde avec des yeux menaçant mais joueur. Deux têtes de l'Hydre s'approche de moi de manière rapide et gueule de toute leurs force. Bouah ! Qu'est-ce qui puent de l'haleine mon Discord ! Malgré cela, ça m'amuse. Je l'ai ai bien énervé, du coup, mon repas va être délicieux. Je vais nourrir ma haine, même si il ne ressent que de la colère.

Je pris mon couteau et je dit avant de passer à l'attaquer :

« Alors tu t'es décidé de sortir ? Tu veux jouer ? Alors c'est parti ma Desty ! »

Je bondis extrêmement haut avant de déployer mes ailes. Le monstre ne me quitte pas des yeux, il essaie de louper mes coups. Mes je vais beaucoup plus vite que lui puisque je suis plus petite. Un moment, avec une des têtes, il m'a plaqué contre un mur violemment. J'ai eu des picotement certes, mais je crois que c'est mes oreilles qui ont le plus souffert, car il n'arrête pas de crier ! C'est insupportable ! C'est pourquoi je tranche la tête qui m'a coincé.

Je sais que la tête va malheureusement pousser, mais c'est juste pour me libérer hein.
Je tombe dans l'eau sale car mes ailes ont eu du mal a s’arborer à cause du choc entre elles et la roche.

Il s'apprête à m'écraser quand je me précipite sur sa patte pour la percer profondément. Enfin un cri qui sort de ce montre qui me plait bien ! Un hurlement de douleur...Ah... J'ai pénétrer le couteau jusqu'à l'os du pied, quel plaisir intense. Je le retire lentement, avant qu'une vague de sang me noie.
Peu après, il me prit avec sa queue et s'apprête à me faire subir la pire des souffrances. Je n'ai pas du tout peur, bien au contraire, ça m'amuse. Je coupe de même pour me libérer et je me précipite vers le cœur de la bête. Je le tranche plusieurs fois avec entre temps le spécimen qui me piège et qui me frappe avec ses têtes. Enfin avoir vraiment atteint le cœur, j'essaie de m'enfoncer en lui pour percer son organe vitale. Puis, il arrête de gueuler comme un goret. Il tombe violemment.Ce qui créé une vague d'eau sale mêlée à du sang. Je n'ai pas envie de quitter le sol. Je veux recevoir cette vague de souffrance. J'inspire avant de stopper ma respiration et de me laisser emporter par ce petit raz de marrée. Je heurte les arbres qui se déracine, je heurte des roches plus ou moins aiguisées.

Suite à ce puissant puissant rouleau, même si j'ai pas mal de blessure, je ris diaboliquement. J'observe les dégâts que j'ai causé. En le annihilant, je constate que j'ai détruis énormément d'espèce et de végétale. Je suis fière de moi. J'ai beaucoup de chose à manger. Je rejoins mon adversaire, et je me dit comment puis-je prendre toute la viande. De toute façon, le manoir se situe non loin du crime. Heureusement quand même que j'ai apporté mon sac ressemblant à un sac poubelle mais en plus costaud ! Alors, je prit un maximum de chair, et je reparti.